Revue Internationale d'Ethnographie
La revue de la Société Internationale d'Ethnographie

Main menu

Skip to content
  • A propos
  • Comité scientifique
  • Contact
  • Experts sollicités pour la lecture des numéros parus :
Numéros publiés

Hommage à Michel LOBROT texte de Patrick BOUMARD

by admin • 1 mai 2019 • 0 Comments

Hommage à Michel LOBROT texte de Patrick BOUMARD

Post navigation

← Décès de Michel LOBROT
Publication de l’ouvrage de Ruben BAG: « Expériencias éducativas innovadoras » →

Appel à Articles / Call for Papers

Appel à propositions N°  : en chantier

Vos propositions sont attendues pour le

Chaque auteur envoie,  via le formulaire de contact de la revue, son projet. Il fournira ensuite un texte de 20 000 à 30 000 caractères DANS LA LANGUE DE SON CHOIX, et trois résumés d’environ une demi-page, en trois langues, dont un en anglais, selon la procédure qui lui sera alors indiquée.

Le comité de lecture prendra contact avec les auteurs dont les textes auront été approuvés.

 

 

Nous contacter



Nous contacter

Les appels à contributions, annonces de colloques, soutenances de thèse…

Dernier appel à communications- Dead line 7 février 2020:

Oxford Ethnography and Education Conference 2020 

Wednesday 2nd to Friday 4th September 2020

 

We look forward to a continuing stream of international discussion papers that focus on educational contexts and issues through ethnography and ethnographic methods including empirical fieldwork as well as methodological papers focusing on research activity. The conference will be held again at New College Oxford. New College was founded in 1379 by William of Wykeham, and is located on a historic site in the centre of the city.

 

We always have a large representation from outside the UK – over 50% – and we hope this will continue. As many of you know, we publish a journal, Ethnography and Education, for which papers from the Oxford Ethnography Conference provide a rich resource.

 

The registration fee for the two-and-a-half-day conference will be £410 (excl. accommodation). PhD students have a reduced fee of £295 (excl. accommodation). The fee includes:

*   Tea, coffee and lunch available on Wednesday 2nd, Thursday 3rd and Friday 4th September

*   A year’s subscription to the Ethnography and Education Journal.

*   A free book from the Ethnography and Education Book Series.

 

Conference Culture

We aim to create a positive and collegial atmosphere, and there will be ample opportunity for people to meet, talk and socialize. As previously, all papers will be circulated before the conference, via the conference website, to enable 40 minute sessions to be developed almost entirely to a discussion of the research findings, methods and wider issues attached to each paper.

 

We hope delegates will actively participate with the conference and encourage all delegates to chair at least one session of their choosing (decided on a first come first served basis once a draft timetable has been set). We encourage you to invite ethnographers from the fringes of education who you feel would welcome such an opportunity.

 

The number of papers will be limited in order to maintain a high degree of interaction in the sessions. Consequently, abstracts should provide clear evidence of a contribution to knowledge of the education sphere and details of ethnographic methodology.

 

Abstract Submission

Electronic abstracts of between 300-500 words should be sent as a word document and as a separate attachment on the template attached to the bottom of this email to Lisa Russell (l.russell@hud.ac.uk) by Friday 7th February 2020 and authors will be notified of paper acceptance by Wednesday 18th March 2020. The abstract should include details of ethnographic methodology and research aims and findings contribution if a substantive paper. Methodological papers are welcomed. Full papers of up to 7000 words are to be submitted by Monday 10th August. Registration for the conference will close on 14th August 2020.

 

Booking will open in April after delegates have had their abstracts approved. Conference and accommodation booking will be available online. Accommodation costs will be advertised online when booking opens.

The conference team is: Lisa Russell, Huddersfield University, UK (l.russell@hud.ac.uk);  Jonathan Tummons, Durham University, UK (jonathan.tummons@durham.ac.uk); Ruth Barley, Sheffield Hallam University, UK (r.barley@shu.ac.uk); Courtney Stafford-Walter (courtney.stafford-walter@ed.ac.uk), Edinburgh University, UK and Shari Sabeti, Edinburgh University, UK (shari.sabeti@ed.ac.uk).

 

 

 

OEC 2020 Abstract Template

 

Name(s) of all author(s) with institution(s)  
   
   
Email address of corresponding author  
Email address of any other author delegates wishing to attend  
Postal address of corresponding author  
Please indicate if you would like us to keep your email contact address for future correspondence by ticking your preference

YES                         NO

Please indicate if you are happy for your email contact address to be held on an E&E jiscmail distribution list and would like us to keep your email contact address for future correspondence by ticking your preference

YES                         NO

 

Abstract (300 – 500 words) Divide your abstract up using the headings below
Working title:

 

Purpose of paper (Please indicate whether this is a substantive OR methodology paper)

 

 

Findings:

 

 

Contribution to education/ethnography:

 

 

 

University of Huddersfield inspiring global professionals.

———————————————————————————————————————————————————–
Dernier appel à articles pour ethnographiques.org sur la comparaison :

https://www.ethnographiques.org/appels/comparaison

Appel à propositions de la revue ethnographiques.org

Date limite de soumission : 12 janvier 2020

En anthropologie, une tension cruciale traverse les pratiques de l’observation, de la description et de l’analyse comparative, qui toutefois n’ont pas été investies de la même manière selon les chercheurs. Si la comparaison est par exemple mise en avant par Lévi-Strauss pour qui l’ethnographie est le moment initial d’une anthropologie susceptible de dégager, de cultures variées, des « différences qui se ressemblent » (1958 et 1962), tel n’est pas le cas, on le sait, d’auteurs comme Boas (1896) ou Malinovski (1922) dont les intentions idiographiques ou monographiques prévalent sur la confrontation avec des sociétés qu’ils n’ont pas eux-mêmes étudiées. La description approfondie de cas singuliers est-elle pour autant indépendante d’une démarche comparative visant la mise au jour d’espaces plus globaux ? Issue d’un temps où le travail de « cabinet » se distinguait du « travail de plein air », la scission entre observation directe et mise en perspective à distance a été en quelque sorte ressoudée par la réalité du travail intellectuel depuis la seconde moitié du XXe siècle. Comment un chercheur saurait-il en effet restituer la singularité d’une situation sociale donnée sans arrière-plans comparatifs ? Ainsi les monographies publiées dans les années 1970/80 sur les modes d’héritage dans les sociétés paysannes européennes se nourrissaient les unes des autres (Augustins 1989) tout en se référant à des analyses plus théoriques (Bourdieu 1972). Réciproquement, il semble difficile d’envisager une démarche comparative qui ne serait pas informée par une pratique concrète du terrain, à l’instar des travaux menés dans les années 60 par Evans-Pritchard et Fortes sur les systèmes politiques africains (1964), voire même ceux de Mauss nourris par une expérience sociale et politique personnelle (1947). Reste que, depuis la fin du XXe siècle, la reconfiguration du champ des sciences sociales, l’estompage des frontières disciplinaires, l’émergence de nouveaux terrains, et de nouveaux objets – en anthropologie comme ailleurs –, ou encore de nouvelles procédures de financement de la recherche, l’accès instantané aux publications scientifiques contribuent à renouveler la question de l’articulation, dans les travaux contemporains, de l’ethnographie et du comparatisme. Dans cette perspective, le présent appel à propositions vise à prendre la mesure de ce que la comparaison fait à l’ethnographie à partir d’études de cas concrets et de recherches en cours. Les contributions seront réunies dans un dossier publié en 2021 dans la revue ethnographiques.org.

Cette thématique pourra bien entendu être envisagée sous plusieurs angles, lesquels ne sont ici ni exclusifs ni exhaustifs.

Comment la comparaison nourrit l’ethnographie

On peut s’interroger, dans une perspective réflexive, sur ce que l’interprétation de faits recueillis au cours d’expériences ethnographiques uniques doit à la connaissance, en amont, d’un « hinterland » discursif (Candea 2016) – autrement dit de notions et de théories partagées de façon diffuse par un certain nombre de chercheurs et qui s’avèrent, sinon universelles, du moins d’une portée générale. Le marxisme a ainsi joué un rôle clé dans la description et l’interprétation de sociétés locales, de même que le structuralisme dans l’interprétation de corpus mythiques, ou plus récemment, les approches postcoloniales dans le déplacement du regard porté sur les relations entre mondes hégémoniques et mondes subalternes. Comment le travail de terrain est-il en permanence informé, modelé ou réorienté par d’autres menés ailleurs, par des courants de pensée, des concepts, parfois venus de disciplines voisines, telles la préhistoire, l’histoire ou la sociologie. Dans quelle mesure la « foi comparatiste » (Grillot 2012) d’un Jack Goody, d’un Max Weber ou d’un Fernand Braudel anime encore les pratiques de l’observation et de la description ? Notons à cet égard que la comparaison peut aussi surgir du dispositif même de l’ethnographie : pensons aux enquêtes multisituées (Marcus 2002), aux enquêtes menées sur un même terrain sur des périodes longues, au choix parfois d’un second terrain éloigné d’un premier devenu inaccessible, voire de terrains dont les « revisites » (Stocking 1987) peuvent donner matière à débats sur le changement social ou sur les prénotions de l’ethnographe. Comment peuvent s’imposer dès lors des comparaisons entre des faits et des interprétations élaborés à des moments différents ou en des lieux différents et sur quels arguments repose leur légitimité ? Quelle est en somme la place de la comparaison, consciente ou implicite, dans le quotidien de la recherche ?

Comparaison, (dé)contextualisation, modélisation

Inversement à l’ethnographie, la démarche comparative a pu être conçue comme une décontextualisation des faits ou des analyses propres à un terrain, qui serait importés, ou, au sens littéral du terme, traduits dans un autre contexte : celui de la théorie à étayer, de la problématique à éclairer, des hypothèses échafaudées à partir des expérimentations de l’auteur. Des formes spécifiques d’altérité peuvent donc être pensées comme autant de variations d’une humanité commune, mais au prix de quelles approximations ? Typologies, modèles et mise en évidence de règles générales ne supposent-ils pas de laisser de côté une part des matériaux ethnographiques recueillis dans les sociétés considérées, matériaux qui se révèlent parfois trop foisonnants pour se prêter à une synthèse ou à un jeu analytique d’échelles (Revel 1996) ? Comment les chercheurs opèrent alors une sélection ? Que retiennent-ils comme éléments de comparaison : des faits (et lesquels) ou des modèles (comment alors construire ceux-ci) ? Si la réflexion sur la comparaison est inhérente à l’avènement de l’anthropologie en tant que discipline scientifique (Morgan 1870, Durkheim et Mauss 1901-1902) et demeure toujours débattue (Remaud, Schaub et Thireau 2012), la fabrication de « comparables » (Detienne 2000) est aussi une activité intellectuelle qui mérite d’être interrogée. Comment et dans quelles limites comparer des sociétés distantes dans le temps et l’espace ? Les monographies des historiens, rédigées à partir d’archives, peuvent-elles être confrontées à celles des ethnologues, élaborées à partir d’observations in situ ? Comment éviter les « faux amis », autrement dit des catégories dont l’apparente identité masque des contenus sémantiques différents (Geffray 1990) ? Quelles sont en définitive les limites de la démarche ? Existe-t-il des « incommensurables » ou des « incomparables » ?

Comparatismes « spontanés » observés par le chercheur chez ses interlocuteurs sur le terrain

La plupart des chercheurs enfin, notamment sur des terrains traversés par plusieurs logiques (religieuses, communautaires, mémorielles, etc.) relèvent l’existence auprès de leurs interlocuteurs d’une pensée comparative à l’œuvre. C’est par exemple un « eux » qui s’oppose à un « nous », un « ici » à un « là-bas », une périphérie qui se pense comme telle par rapport à un centre, etc. Cette pensée peut dénoter une réflexivité et une auto-distanciation « indigènes », qui montre bien que les chercheurs ne sont pas les seules figures aux prises avec le « démon de l’analogie » (Bourdieu 1980), mais qui mérite aussi d’être interrogée : quel traitement lui est réservé dans les travaux scientifiques et comment peut-elle, implicitement ou non les orienter ? On peut rappeler à cet égard les injonctions ou les revendications agissant dans certains dispositifs gouvernementaux – comme les candidatures à la reconnaissance officielle d’une valeur culturelle patrimoniale ou les usages politiques, moraux et mémoriels du passé (de l’esclavage, des génocides, de la colonisation, des migrations, etc.) – qui relèvent elles aussi de logiques comparatives et émulatives constamment mises en œuvre par les acteurs sociaux.

Les pistes évoquées ici n’épuisent pas la question, mais quels que soient les angles envisagés, les contributions interrogeront en amont, à partir d’analyses réflexives sur des expériences diverses, la pertinence épistémologique des méthodes et les théories canoniques inhérentes à la pratique tant de l’ethnographie que de la comparaison : comment monter en généralité sans trahir les particularités de chaque terrain ? Comment penser et organiser la collecte des données sur des terrains différents et parfois éloignés ? Quelles sont les difficultés particulières d’une démarche entamée a priori (avant même la collecte des données) ou a posteriori (par exemple en confrontant des données recueillies dans le cadre de monographies distinctes, ou de seconde main) ?

Multimédias et Comparaisons

La revue ethnographiques.org encourage les auteurs à mobiliser des matériaux multimédias et promeut de nouvelles formes d’écriture associant différents outils dans des dispositifs narratifs et démonstratifs originaux. Des membres de notre comité de rédaction peuvent le cas échéant fournir une aide technique ou des recommandations. Il serait intéressant que certains articles mettent en œuvre un usage non seulement documentaire mais aussi comparatif d’images fixes ou animées.

Calendrier

Les propositions d’articles (titre et résumé de 3 000 à 6 000 signes, références bibliographiques et espaces comprises) sont attendues pour le 12 janvier 2020. Elles présenteront de manière synthétique les situations ethnographiques considérées et les principaux arguments de l’analyse.

Elles doivent être envoyées, avec la mention « Comparaison » comme objet du message, assorties d’une notice bio-bibliographique de l’auteur(e), aux coordinateurs du numéro, Tiphaine Barthelemy (tiphaine.barthelemy@u-picardie.fr), Gaetano Ciarcia (ciarcia.gaetano@wanadoo.fr) ainsi qu’à la rédaction de la revue (redaction@ethnographiques.org).

Les auteur(e)s seront informé(e)s de la sélection des propositions début février 2020.

Les articles (d’une longueur inférieure à 50 000 signes, bibliographie et espaces comprises) devront être envoyés pour le 30 juin 2020. Les auteurs sont priés de suivre les consignes précisées sur la page http://www.ethnographiques.org/Note-aux-auteurs.

Les textes seront relus par les coordinateurs du numéro, des évaluateurs externes et le comité de rédaction.

La parution du numéro Ce que la comparaison fait à l’ethnographie est prévue au premier semestre 2021.

expand_less

library_books Bibliographie

AUGUSTINS Georges, 1989. Comment se perpétuer ? Devenir des lignées et destin des patrimoines dans les paysanneries européennes. Nanterre, Société d’ethnologie.

BOAS Franz, 1896. « The limitations of the comparative method of anthropology », Science, 4, 103 (Dec. 18), p. 901-908.

BOURDIEU Pierre, 1972. « Les stratégies matrimoniales dans le système de reproduction », Annales ESC, 4-5, p. 1105-1127.

BOURDIEU Pierre, 1980. Le sens pratique. Paris, Éditions de Minuit.

CANDEA Matei, 2016. « De deux modalités de comparaison en anthropologie sociale », L’Homme, 218, p. 183-218.

DETIENNE Marcel, 2000. Comparer l’incomparable. Paris, Éditions du Seuil.

DURKHEIM Émile et MAUSS Marcel, 1901-1902. « De quelques formes primitives de classification : contribution à l’étude des représentations collectives », Année sociologique, 6, p. 1-72.

FORTES Meyer et EVANS PRITCHARD Edward Evan, 1964. Systèmes politiques africains. Paris, PUF.

GEFFRAY Christian, 1990. Ni père ni mère. Critique de la parenté : le cas makhuwa. Paris, Le Seuil.

GRILLOT Thomas, 2012. « Le besoin de comparer. L’anthropologie historique de Jack Goody », laviedesidees.fr [en ligne : https://laviedesidees.fr/Le-besoin-de-comparer.html].

LEMIEUX Cyril, 2019. « Faut-il en finir avec le comparatisme ? », L’Homme, 229, p. 169-184.

LEVI-STRAUSS Claude, 1958. Anthropologie structurale. Paris, Plon.

LEVI-STRAUSS Claude, 1962. Le totémisme aujourd’hui. Paris, PUF.

MALINOVSKI Bronislaw, 1963. Les Argonautes du Pacifique occidental. Trad. de l’anglais (1922). Paris, Gallimard.

MARCUS George, 2002. « Au-delà de Malinowski et après Writing Culture : à propos du futur de l’anthropologie culturelle et du malaise de l’ethnographie », ethnographiques.org, 1 [en ligne : http://www.ethnographiques.org/2002/Marcus].

MAUSS Marcel, 1947. Manuel d’ethnographie. Paris, Payot.

MORGAN Lewis Henry, 1870. Systems of Consaguinity and Affinity of the Human Family. Washington, Smithsonian Institution.

REMAUD Olivier, SCHAUB Jean-Frédéric, THIREAU Isabelle (dir.), 2012. Faire des sciences sociales. Comparer. Paris, Éditions de l’EHESS.

REVEL Jacques (dir.), 1996. Jeux d’échelles. La micro-analyse à l’expérience. Paris, Gallimard/Le Seuil.

STOCKING George W. (ed), 1987. Observers Observed. Essays on Ethnographic Fieldwork. Madison, University of Wisconsin Press.

 

 

Publications :

Le dernier livre de Bob Jeffrey et Lisa Russel ETHNOGRAPHIC WRITING :

Writing is fundamental to the ethnographer. It plays a major role through: the collection and development of fieldnotes; reflective and reflexive memos and diaries; the re-presentation of contexts for readers and it creates analytical contributions for knowledge via dissemination. However, the uses, purposes and practices of writing are imbued with problematic aspects concerning: philosophy – modes of interpretation; writer values and perspectives; epistemology – validity of analysis and representation; the role of the self as a research instrument and the researcher’s relationships to the context and the people within them. A further complication is the question of how ‘writing’ is defined – whether drawings, pictures and multi-modal re-presentations can be considered as constituting ethnographic writing.

This series collates eleven articles that have been gathered from across The Ethnography and Education global network bringing together ethnographers’ experiences and reflective practices regarding the nature of ethnographic writing and how we do it.

The articles are divided into three sections: Writing and fieldnotes (Hammersley [2], Delamont and Borgnakke); Fieldwork writing practices, (Thomson, Wieland and Jeffrey); and Researcher relationships with responders and researcher colleagues (Milstein, Clemente and Guerrero, Russell, Parker Webster and Raggl. Each section contains new and possibly controversial perspectives concerning writing and ethnography and it is hoped readers will find something useful, as well as issues which they would wish to debate with colleagues.

The book is thus relevant to anyone engaged in Ethnography in any discipline because the articles deal with many common issues and practices including: engagement with members of the research site; ethical issues of ethnographic writing; ethnographer self-awareness; performative writing; new materialist approaches and the role of ethnographic writing. The collection also includes a comprehensive literature review evaluating the past and current thinking regarding ethnography and writing.

Ethnography and Education

_________________________

e

A lire sur d’autres sites

Résultat de recherche d'images pour "belli e dannati libro merico"Etnografie del dissenso. Vol. 3: Storie e pratiche

 

 

Rivista di Antropologia post-globale, Speciale n. 2 – 2015, Antropologia e religione

L’ethnographie en trois dimensions

Pédagogie et numérique

Copyright © 2023 Revue Internationale d'Ethnographie. All Rights Reserved. The Magazine Basic Theme by bavotasan.com.